samedi, avril 29, 2006
mercredi, avril 26, 2006
Y fonction de X
«Elle arrivait de nulle part.»
«Tous les noms que j'ai envie de te donner déjà.»
«Lylianne m'attache.»
«Tous les noms que j'ai envie de te donner déjà.»
«Lylianne m'attache.»
samedi, avril 22, 2006
Chacun son high
Bon ben je suis dû pour une débauche, une dérape, un trip, une dose de drogue dure.
Rechute.
Who need cocaine? I'm a sexaholic!
Rechute.
Who need cocaine? I'm a sexaholic!
vendredi, avril 21, 2006
Perturbations en plein jour
Je suis sale et pourtant tu m'embrasses de tes pleines lèvres humides. Je voudrais m'y perdre mais tout nous retient, puis tu t'en retournes. Trop loin.
Je traverse plusieurs phases : le bonheur d'être allumé par tes yeux, le retour à la réalité, mais une réalité moins grise et poussièreuse, enfin le désir douleureux de ton retour.
Je te souhaite. Embrasser ton regard.
Je traverse plusieurs phases : le bonheur d'être allumé par tes yeux, le retour à la réalité, mais une réalité moins grise et poussièreuse, enfin le désir douleureux de ton retour.
Je te souhaite. Embrasser ton regard.
lundi, avril 17, 2006
Journal de bord
Je débute ma quatrième semaine ici.
À l'occasion, j'aime bien muer. Changer de peau, de vie, de décor. D'inspirations. De femmes. C'est ce qui vient de se produire. J'ai trouvé chaussures pour ma carcasse. Nouveaux lieux à habiter : j'en suis le gardien. Coupé du monde. Jouissance totale.
J'entame ma quatrième semaine. Sur mon nouvel uniforme, déjà la brûlure d'un "plomb". Ainsi va ma vie. C'est le secret de mon état de veille, de ma résistance à ne pas m'effondrer dans le silence sous vide : je tire des joints, à la queue-leu-leu.
Je suis le gardien de lieux inhabités, inhabitables. C'est gigantesque, sidéral. Le vide n'en est que plus épanoui. Je façonne mes idées en balles, que je lance contre les murs, dans le souterrain ; elles vibrent ainsi jusqu'en haut, s'amplifiant. La tour frémit...
À l'occasion, j'aime bien muer. Changer de peau, de vie, de décor. D'inspirations. De femmes. C'est ce qui vient de se produire. J'ai trouvé chaussures pour ma carcasse. Nouveaux lieux à habiter : j'en suis le gardien. Coupé du monde. Jouissance totale.
J'entame ma quatrième semaine. Sur mon nouvel uniforme, déjà la brûlure d'un "plomb". Ainsi va ma vie. C'est le secret de mon état de veille, de ma résistance à ne pas m'effondrer dans le silence sous vide : je tire des joints, à la queue-leu-leu.
Je suis le gardien de lieux inhabités, inhabitables. C'est gigantesque, sidéral. Le vide n'en est que plus épanoui. Je façonne mes idées en balles, que je lance contre les murs, dans le souterrain ; elles vibrent ainsi jusqu'en haut, s'amplifiant. La tour frémit...
lundi, avril 10, 2006
Je vais
Étaler mes eaux sur tous les murs partour
Comme autant de prismes déchus
Colombes rougies par le verre
Ta vie se résume
À du ruban magnétique
Tortillé le long d'une route
Comme autant de prismes déchus
Colombes rougies par le verre
Ta vie se résume
À du ruban magnétique
Tortillé le long d'une route
dimanche, avril 09, 2006
Il est venu le temps de se...
Yes sir on se remet sur la beer !!!
Puisque le lait nous a rendu malades.
Puisque le lait nous a rendu malades.
Happy birthday j'te dis !
M'a fourchu
Comme ma vie
Au participe
Passé
S'éteint
Bonne fêêêêê-te
à moi
Bougies funèbres
Comme ma vie
Au participe
Passé
S'éteint
Bonne fêêêêê-te
à moi
Bougies funèbres
jeudi, avril 06, 2006
In sanity
I don't
I don't wannabee
I don't wanna be INNNN-SANNNNNE
No, I don't want to be
Someone else
Something wrong
I don't wannabee
I don't wanna be INNNN-SANNNNNE
No, I don't want to be
Someone else
Something wrong
Montées de lait
Ces derniers jours j'étais comme enragé, j'avais des montées de lait.
Jusqu'à ce qu'hier, ma rage explose et que je la vomisse littéralement, au lieu de l'écrire.
J'ai vomi, vomi. Ça ressemblait à du lait caillé.
Ça va mieux aujourd'hui.
Jusqu'à ce qu'hier, ma rage explose et que je la vomisse littéralement, au lieu de l'écrire.
J'ai vomi, vomi. Ça ressemblait à du lait caillé.
Ça va mieux aujourd'hui.
Se perdre dans la parenthèse
Hier - ça me fait toujours drôle à dire, hier, parce qu'hier n'existe pas vraiment, c'est la masse du passé, ça ne se resépare plus - mais bon en ce cas-ci je sais que vous diriez hier, puisque par rapport aux journées c'était vraiment hier - ok j'arrête là :
(zut c'est quoi je voulais vous dire donc?)
Hier?...
(zut c'est quoi je voulais vous dire donc?)
Hier?...
Au loup! Au loup!!!
Tu connais l'histoire du garçon qui criait «Au loup!» ?
Ben un jour le loup apparut.
C'est ÇA, la morale de l'histoire.
Ben un jour le loup apparut.
C'est ÇA, la morale de l'histoire.
mercredi, avril 05, 2006
Tiens crétins !
Oh et en passant à Rouje nous sommes fermés à 2h30 le mardi.
Pourquoi? Parce que nous sommes de vrais artisses. On ne boit pas la semaine.
Crisse man! C'est quoi, ça, la semaine???
Pourquoi? Parce que nous sommes de vrais artisses. On ne boit pas la semaine.
Crisse man! C'est quoi, ça, la semaine???
Quoi de pire?
J'ai bu mais j'en ai plus.
Alors saoule-moi s'il-te-plaît.
Saoule-moi de toi de tes seins.
J'ai faim.
Alors saoule-moi s'il-te-plaît.
Saoule-moi de toi de tes seins.
J'ai faim.
mardi, avril 04, 2006
Pas très original mais ça fait du bien à penser
Tu sais?
J'ai pas une cenne mais je suis millionnaire.
J'ai pas une cenne mais je suis millionnaire.
dimanche, avril 02, 2006
Quarante heures
De la manière dont les choses se passaient dernièrement, j'ai préféré attendre un peu avant de t'en parler. Maintenant, je peux :
tu te souviens de ma rencontre de lundi dernier? Et bien le déroulement en fut optimal. Tellement que je fus dans le jus toute cette semaine, quoi! Quarante heures derrière la cravate. Quatre cent piastres dedans...heu déjà dépensées.
La nuit dernière se déroula comme à l'habitude. Musique, lecture, écriture, café, cigarettes, joints, flânage, surveiller le temps et la brume qui m'entourent.
À la seule différence que je n'étais pas chez moi.
Emploi : surveiller le lieu et les temps qui passent. Make yourself at home.
Being paid for this is almost a crime...
I like crimes.