Mais qu'as-tu fait depuis 4 AM?
J'aimerais avoir une vie plus monotone, parfois. Ainsi, je pourrais écrire des choses importantes, plaisantes, insignifiantes, mais j'arrive enfin devant mon ordi et j'aurais plusieurs choses à vous rapporter. C'est plate, c'est long. Ma vie - ma vie vécue s’entend - ne m'intéresse pas. Mais j'ai l'impression de vous devoir cela : une petite part de ma vie réelle. Allez, go!
Vous vous souvenez, la nuit dernière, j'étais peinard, je vous causais innocemment lesbiennes et imbécilités ( voir La débauche, t'as pas idée !). Puis bang! Vous n'en saviez rien, je n'ai pas pris le temps de vous l'écrire même si j'en avais envie, mais je suis parti en trombe. 4h00 du mat', appel d'urgence. C’est elle : ma connexion de cette nuit. Comme quoi tout n'est jamais perdu.
«Blablabla suis malade...vomit sang...froid...pas bien...viens!»
Suis parti comme une balle de fusil! Malade à ce point, ben oui me semble! Connais cela les femmes! Ce n’est qu’une ruse. Pour ne pas me faire peur. Je connais le manège : je vais arriver là, elles seront trois, saoules comme quatorze, les brassières pleines. Malades de rires en me voyant arriver, pensant me faire une surprise, et voulant me récompenser d’ être accouru pour leur sœur. Ne pas m’enfarger dans ma langue. Héhé, j’pas con!
J’arrive déjà, j’ouvre la porte : ce n’était pas du tout ce à quoi je m’attendais. C’était exactement comme elle avait dit. Je scrutais l’appartement avidement : rien dans l’ombre, rien d’autre que la lumière étincelante des WC, et elle, seule, appuyée sur le rebord du bain, devant la cuvette. J’avais raison sur un seul point : elle a sourit en me voyant arriver.
Riez, riez. Vous savez bien qu’une heure plus tard, ce fût mon heure.
Hehem. Bon, pour être franc, une heure plus tard, cela ressembla plus à ceci :
«-Viens ici, me dit-elle. Je veux que tu me fasses ça avec ta bouche. S’il-te-plaît. J’suis maladeeeee. Ça me ferait du bien. J’ai entendu dire que tu étais un champion là-dedans.
- Ha oui, par qui?
- Tout le monde.
- Coudon’. Si tout le monde le dit, tu ne me laisses pas vraiment le choix.»
Au travail. O.K. Là, vous pouvez bien rire. C’est pas grave. Je ne vous ai toujours pas raconté la nuit de la semaine dernière. Je me suis promis de le faire. Bientôt. Vous rirez bien dans votre chapeau.
Quand même, un peu plus tard, c’est évident que c’est allé un peu plus loin. Mais bon, baiser avec une lesbienne seule ou une hétéro, ça ne fait aucune différence ; elles doivent être avec un « s », voilà. Pendant cette pénétration ordinaire, moi, je me sentais profondément déçu.
Bref. Suis revenu à 9h ce matin, vous ai fait des posts débiles, et suis remonté chez elle à 11h. Me suis endormi, enfin, à 14h. Réveil à 20h, retour à 23h. Et voilà.
Plus capable. Plein de choses à faire. Vanné.
Vous vous souvenez, la nuit dernière, j'étais peinard, je vous causais innocemment lesbiennes et imbécilités ( voir La débauche, t'as pas idée !). Puis bang! Vous n'en saviez rien, je n'ai pas pris le temps de vous l'écrire même si j'en avais envie, mais je suis parti en trombe. 4h00 du mat', appel d'urgence. C’est elle : ma connexion de cette nuit. Comme quoi tout n'est jamais perdu.
«Blablabla suis malade...vomit sang...froid...pas bien...viens!»
Suis parti comme une balle de fusil! Malade à ce point, ben oui me semble! Connais cela les femmes! Ce n’est qu’une ruse. Pour ne pas me faire peur. Je connais le manège : je vais arriver là, elles seront trois, saoules comme quatorze, les brassières pleines. Malades de rires en me voyant arriver, pensant me faire une surprise, et voulant me récompenser d’ être accouru pour leur sœur. Ne pas m’enfarger dans ma langue. Héhé, j’pas con!
J’arrive déjà, j’ouvre la porte : ce n’était pas du tout ce à quoi je m’attendais. C’était exactement comme elle avait dit. Je scrutais l’appartement avidement : rien dans l’ombre, rien d’autre que la lumière étincelante des WC, et elle, seule, appuyée sur le rebord du bain, devant la cuvette. J’avais raison sur un seul point : elle a sourit en me voyant arriver.
Riez, riez. Vous savez bien qu’une heure plus tard, ce fût mon heure.
Hehem. Bon, pour être franc, une heure plus tard, cela ressembla plus à ceci :
«-Viens ici, me dit-elle. Je veux que tu me fasses ça avec ta bouche. S’il-te-plaît. J’suis maladeeeee. Ça me ferait du bien. J’ai entendu dire que tu étais un champion là-dedans.
- Ha oui, par qui?
- Tout le monde.
- Coudon’. Si tout le monde le dit, tu ne me laisses pas vraiment le choix.»
Au travail. O.K. Là, vous pouvez bien rire. C’est pas grave. Je ne vous ai toujours pas raconté la nuit de la semaine dernière. Je me suis promis de le faire. Bientôt. Vous rirez bien dans votre chapeau.
Quand même, un peu plus tard, c’est évident que c’est allé un peu plus loin. Mais bon, baiser avec une lesbienne seule ou une hétéro, ça ne fait aucune différence ; elles doivent être avec un « s », voilà. Pendant cette pénétration ordinaire, moi, je me sentais profondément déçu.
Bref. Suis revenu à 9h ce matin, vous ai fait des posts débiles, et suis remonté chez elle à 11h. Me suis endormi, enfin, à 14h. Réveil à 20h, retour à 23h. Et voilà.
Plus capable. Plein de choses à faire. Vanné.
0 Salves:
Publier un commentaire
<< Home