Choses à faire de ma vie de pertes
Quoi d’autre écrire écrire lire et écrire
Mais j’ai besoin de vous
Quelqu’un d’hardi que dis-je ça urge dare-dare
Plantes ton dard au centre de mon cœur remplis ce creux
Que je tombe enfin vers le ciel
Porté par ta musique tu m’effleures tout le corps
Et mon âme et mes souvenirs et mes pensées indéterminées
Tout ce qui est avenir
En somme de foi de procession à genoux écorché vif et dans tout mon être
Tu couvrirais ces malheurs passés inoubliables en flammes
En fumée la grotesque coquille qui me retient depuis trop longtemps
Qui m’a forgé forgeron
Si tu es ce radeau de fortune dont tu parles constamment
Je suis l’assoiffé accroché en sangsue à ton pont dégoulinant
Et je lèche avec plaisir le sel sur ta peau
Malgré les échardes sur ma langue ensanglantée
Martyr du langage de front de plus en plus minime
Nos échanges de plus en plus atrophiés
Jusqu’à n’être que grognements et parlures de barbes
Ce n’est jamais ce que l’on voulait dire
Mais c’est quand même cela que l’on a dit
Mais j’ai besoin de vous
Quelqu’un d’hardi que dis-je ça urge dare-dare
Plantes ton dard au centre de mon cœur remplis ce creux
Que je tombe enfin vers le ciel
Porté par ta musique tu m’effleures tout le corps
Et mon âme et mes souvenirs et mes pensées indéterminées
Tout ce qui est avenir
En somme de foi de procession à genoux écorché vif et dans tout mon être
Tu couvrirais ces malheurs passés inoubliables en flammes
En fumée la grotesque coquille qui me retient depuis trop longtemps
Qui m’a forgé forgeron
Si tu es ce radeau de fortune dont tu parles constamment
Je suis l’assoiffé accroché en sangsue à ton pont dégoulinant
Et je lèche avec plaisir le sel sur ta peau
Malgré les échardes sur ma langue ensanglantée
Martyr du langage de front de plus en plus minime
Nos échanges de plus en plus atrophiés
Jusqu’à n’être que grognements et parlures de barbes
Ce n’est jamais ce que l’on voulait dire
Mais c’est quand même cela que l’on a dit
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