À propos de : Queens Of The Stone Age, «Lullabies To Paralyze»
Je me suis enfin mis à l’écoute du dernier de Queens Of The Stone Age, «Lullabies To Paralyze». Personnellement, j’aime ce genre de rock lourd mais terriblement intelligent de notre époque. Peut-être que ça peut t’intéresser aussi. Sinon, je te conseille d’essayer cela quand même, la prochaine fois que tu dois te taper le ménage.
Je suis allé jeter un œil sur les paroles, qui sont peut-être ordinaires et sans intérêt. Et c’est exactement cela : on s’en fout. De plus, les refrains sont très corrects et font très bien leur travail, en ce sens qu’ils soulignent les accents musicaux et servent la musique.
Car, côté musical, c’est époustouflant! À la deuxième minute de l’album, deuxième chanson, «Medication», tu comprends pourquoi cet album se retrouve dans la plupart des fuckin’ listes d’albums de l’année. Quatrième minute, troisième toune, «Everybody Knows That You Are Insane», tu n’y peux rien : tu te fais une fuckin’ liste d’albums de l’année parce que celui-ci doit en faire partie.
Tu penses que ça ne peut assurément pas continuer à ce même niveau bien longtemps, mais il ne se perd toujours aucune seconde pendant «Tangled Up In Plain» et «Burn The Witch».
Peut-être que les dix minutes suivantes sont moins hypnotisantes (erratum : c’est faux, j’oubliais «Little Sister») ; moi, j’ai réussi à faire autre chose en même temps. Mais ça reconquiert ta totale attention avec le riff dévastateur de «Someone’s In The Wolf», sept minutes purement délicieuses dont tu regretteras la fin abrupte. Mais ne t’inquiètes pas et ne retournes pas tout de suite au début : après les premières secondes plus ternes de «The Blood Is Love», ça reprend du muscle.
Pour le reste, je laisse cela entre tes mains. Mais penses-y : 1h06min, 16 chansons variant de 1 à 7 minutes, c’est du bonbon!
Et quand je te parlais de refrains de qualité, regarde celui-ci. C’est drôle, ça me fait vraiment penser à ce que j’ai écrit il n’y a que quelques jours (Tombe le titre) :
Je suis allé jeter un œil sur les paroles, qui sont peut-être ordinaires et sans intérêt. Et c’est exactement cela : on s’en fout. De plus, les refrains sont très corrects et font très bien leur travail, en ce sens qu’ils soulignent les accents musicaux et servent la musique.
Car, côté musical, c’est époustouflant! À la deuxième minute de l’album, deuxième chanson, «Medication», tu comprends pourquoi cet album se retrouve dans la plupart des fuckin’ listes d’albums de l’année. Quatrième minute, troisième toune, «Everybody Knows That You Are Insane», tu n’y peux rien : tu te fais une fuckin’ liste d’albums de l’année parce que celui-ci doit en faire partie.
Tu penses que ça ne peut assurément pas continuer à ce même niveau bien longtemps, mais il ne se perd toujours aucune seconde pendant «Tangled Up In Plain» et «Burn The Witch».
Peut-être que les dix minutes suivantes sont moins hypnotisantes (erratum : c’est faux, j’oubliais «Little Sister») ; moi, j’ai réussi à faire autre chose en même temps. Mais ça reconquiert ta totale attention avec le riff dévastateur de «Someone’s In The Wolf», sept minutes purement délicieuses dont tu regretteras la fin abrupte. Mais ne t’inquiètes pas et ne retournes pas tout de suite au début : après les premières secondes plus ternes de «The Blood Is Love», ça reprend du muscle.
Pour le reste, je laisse cela entre tes mains. Mais penses-y : 1h06min, 16 chansons variant de 1 à 7 minutes, c’est du bonbon!
Et quand je te parlais de refrains de qualité, regarde celui-ci. C’est drôle, ça me fait vraiment penser à ce que j’ai écrit il n’y a que quelques jours (Tombe le titre) :
«Tangled Up In Plaid»
OH YEAH IT HURTS
OH YEAH IT MUST
I could keep you all for myself
I know
You gotta be free
So free yourself
Tu vois, je ne peux plus lire cela sans les chanter.
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