Vomir sa cuvée deux mille cinq
Mon transfert d’années ne fut ni coutumier ni ordinaire.
Le 31, à minuit, je m’attendais à être seul chez moi, sinon tranquille chez quelqu’un d’autre, à écrire. À faire cette horrible mise au point annuelle. Le vin a complètement changé les données.
Franchement, à minuit, je ne me souviens absolument pas de ce que je faisais. Je ne me rappelle pas avoir souhaité la bonne année à quiconque – ah tiens ça me revient une fille dont j’ai embrassé les joues – et je n’ai aucune idée d’à quelle heure je suis rentré. Mon premier mouvement conscient fut à 11h00. Je me suis réveillé. Couché dans mon lit.
Ce n’est jamais très un problème rentrer chez moi. Je suis un piéton chevronné, c’est toujours la même histoire : se concentrer à faire le pas suivant. C’est tout. L’inconscient connaît le chemin et ça va ainsi. Cependant, les escaliers deviennent très hasardeux.
Première chose en me réveillant : je me rappelais avoir voulu appeler une amie en arrivant, j’avais l’impression qu’on s’étaient quittés sur un malentendu. Je l’ai donc appelée. La première chose que j’appris, c’est que oui je l’avais appelée, que je lui avais dit telle et telle choses qu’elle n’avait absolument pas comprises. Puisque j’étais si saoul quand elle était partie. Ah? Ah bon? Ne m’en souvenait pas. Bonne journée, salut.
Me lève boire un demi-litre de lait. Mon ordi est allumé?? Hé ben! J’ai dû l’ouvrir, appeler mon amie, puis être allé me coucher. Là-dessus, suis retourné me coucher.
Malheureusement, je me suis dégueulé tout le corps dans les deux heures suivantes. C’est drôle quand on y pense : j’ai débuté l’année en vomissant la cuite de l’année précédente.
Arrivé au souper familial d’aujourd’hui, à jeun de tout et incapable de rien, ce n’était pas facile. Et toute cette bouffe! Enfin, c’est rentré à petites bouchées, et c’est resté.
Je récupère encore, et vous revient plus tard.
Quand même, pour ce qui est de la période d’introspection, j’ai l’impression qu’elle est passée à côté et qu’elle titube toujours dans un néant quelconque.
Le 31, à minuit, je m’attendais à être seul chez moi, sinon tranquille chez quelqu’un d’autre, à écrire. À faire cette horrible mise au point annuelle. Le vin a complètement changé les données.
Franchement, à minuit, je ne me souviens absolument pas de ce que je faisais. Je ne me rappelle pas avoir souhaité la bonne année à quiconque – ah tiens ça me revient une fille dont j’ai embrassé les joues – et je n’ai aucune idée d’à quelle heure je suis rentré. Mon premier mouvement conscient fut à 11h00. Je me suis réveillé. Couché dans mon lit.
Ce n’est jamais très un problème rentrer chez moi. Je suis un piéton chevronné, c’est toujours la même histoire : se concentrer à faire le pas suivant. C’est tout. L’inconscient connaît le chemin et ça va ainsi. Cependant, les escaliers deviennent très hasardeux.
Première chose en me réveillant : je me rappelais avoir voulu appeler une amie en arrivant, j’avais l’impression qu’on s’étaient quittés sur un malentendu. Je l’ai donc appelée. La première chose que j’appris, c’est que oui je l’avais appelée, que je lui avais dit telle et telle choses qu’elle n’avait absolument pas comprises. Puisque j’étais si saoul quand elle était partie. Ah? Ah bon? Ne m’en souvenait pas. Bonne journée, salut.
Me lève boire un demi-litre de lait. Mon ordi est allumé?? Hé ben! J’ai dû l’ouvrir, appeler mon amie, puis être allé me coucher. Là-dessus, suis retourné me coucher.
Malheureusement, je me suis dégueulé tout le corps dans les deux heures suivantes. C’est drôle quand on y pense : j’ai débuté l’année en vomissant la cuite de l’année précédente.
Arrivé au souper familial d’aujourd’hui, à jeun de tout et incapable de rien, ce n’était pas facile. Et toute cette bouffe! Enfin, c’est rentré à petites bouchées, et c’est resté.
Je récupère encore, et vous revient plus tard.
Quand même, pour ce qui est de la période d’introspection, j’ai l’impression qu’elle est passée à côté et qu’elle titube toujours dans un néant quelconque.
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